
Avant de s'appeler Yusuf Islam, de prêcher la foi musulmane et d'être accusé par les autorités américaines d'avoir financé le Hamas, le déjà barbu Cat Stevens faisait des disques de Folk, des bons disques de Folk.
Tea For The Tillerman, sorti en 1970, est sans doute son meilleur album, on y retrouve un équilibre incroyable entre une voix prête à trébucher à tout moment, de somptueuses guitares sèches, quelques arrangements de cordes et des percussions.
Ce disque à l'ambiance Folk feutrée tout en douceur est rempli de merveilles comme "Wild World", "Sad Lisa", "Father and Son" ou encore "Where Do The Children Play".
Texte - Le briscard de père de Max
Cat Stevens - Where do the children play