Car c’est ça, la représentation des immigrés africains en France : une poignée d’intello dépressifs trustant les média et refusant farouchement toute autre entrée au club que celles qu’ils ont acceptées voire suscitées. Ce, avec l’aval on ne peut plus bienveillant des journaleux français dont le sport favori est visiblement de dire le plus de mal possible de l’Afrique…
Un des connards intello dépressifs qui m’en veut s’est gaussé du fait que mon livre n’avait pas été distribué.
Bien sûr qu’il a été distribué ! Et qu’il a eu du succès… Mais je n’ai pas touché un sous sur ce bouquin, mon éditeur (les Editions du Bord de l’Eau) ayant tout gardé pour lui, chiffres de vente comme commissions de l’auteur (tout ce que je sais c’est qu’il y a eu des retirages) Je l’ai donc mis (mon livre) gratuitement en ligne sur mon blog (dalayer.kazeo.com), CQFD ! Un autre, ou le même, je ne sais plus, m’a accusé d’avoir touché du fric de Bongo en travaillant pour le Gri-Gri. Faut le faire alors que j’ai travaillé gratos pour le « Canard » francophone du Sud du Sahara et que je continue de le faire maintenant qu’il est sur le Net. Je ne sais pas d’ailleurs si des journalistes du Gri-Gri ont touché un tel fric (après vérification : non, NDLR), mais quand je vois comment ce Canard Enchaîné d’Afrique traitait feu Omar Bongo, je suis assez dubitatif sur l’accusation !
Bref, Mesdames et Messieurs les intello dépressifs émigrés du sud du Sahara, je vous emmerde !
Vous êtes une plaie pour votre continent d’origine tandis que vous continuez à pérorer devant les Blancs en leur donnant raison sur tout, y compris leurs plus mauvaises actions : Calixte Beyala a ainsi osé écrire un bouquin donnant raison aux fermiers blancs du Zimbabwe contre les Noirs qui ne font que réclamer « leurs » terres, à eux volées il y a moins d’un siècle. Vous êtes de bien mauvais intellectuels ou bien la honte ne vous étouffe pas, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai parcouru le Monde et je compte aujourd’hui plus les endroits où je n’ai pas été que ceux où j’ai posé mes humbles souliers. Et je suis plutôt intellectuel. Mais je n’ai jamais, réellement jamais, dénigré mon pays à l’étranger. Ils sont peu nombreux, d’ailleurs, à le faire. Sachez donc que vous comptez parmi les principaux membres de ce club des peu nombreux salopards…
Texte - Christian d’Alayer
PS : www.dalayer.kazeo.com