Ça partait (certainement) d'une bonne intention... la petite notule d'hommage du Parisien-Aujourd'hui à Patrick Saint-Éloi au lendemain de sa mort. Un peu court... surtout si l'on considère que la première Zazie venue aura droit pour son énième inutile "projet" à au moins une pleine page... surtout si l'on considère que Le Parisien est (avec Paris Turf) le journal le plus lu par les Antillais de l'hexagone...
Comment expliquer cet ultime affront, cette post-mortem vexation, ce - presque symbolique - dernier déni d'identité ? Patrick Saint-Éloi est mort dans Le Parisien sous les traits d'un autre membre de Kassav, Jean-Philippe Marthély.
PS : merci à Joëlle Podin.