C'est écrit dans son impertinent (mais qui ne l'est pas aujourd'hui ?) Causeur.fr : "Alors soyons clairs : toute personne qui n’est pas d’accord avec un juif n’est pas antisémite. Et cessons de réclamer un traitement d’exception pour les juifs. On aurait le droit de se moquer des pédés, des Arabes, des blondes, des noirs et pas des juifs ? Et après, on nous parlera du droit au blasphème et des caricatures du Prophète ? Au secours ! L’antisémitisme n’a pas disparu mais, pardonnez-moi de le dire brutalement, la Shoah est derrière nous. Heureusement. Alors moi, je ne veux pas vivre dans un monde où on n’aura pas le droit de se foutre de la gueule des juifs."
Bon, c'est vrai, en vérité, ce n'est pas pour prendre la défense de Dieudonné que la Lévy a eu ces mots admirables. Mais pour assurer celle de Nicolas Bedos, coupable d'une chronique "controversée" (mais quelle chronique ne l'est pas aujourd'hui ?), et fils de Guy ou ami d'Elisabeth (c'est tellement pareil). Logiquement, lorsqu'un raisonnement est valide, il supporte, pour l'illustrer, n'importe quel exemple... ?