Dans France Dimanche, référence en Cloclodetterie (capable par exemple de trancher : on écrit "Clodette" plus que "Claudette"), on apprend que Claude François tomba sous le charme de la (nécessairement) sculpturale (et plutôt foncée, c'est à noter) Sandra dans un club de Port-au-Prince dans les années 70. Mineure, lorsqu'il l'invita à venir cloclodetter, elle se procura de faux papiers et rejoignit à Paris celui dont elle ne devait jamais se remettre de la disparition.
L'histoire france dimanchée dit que près de quarante ans après, c'était encore de chagrin qu'elle se consumait, jusqu'à ne plus peser qu'une petite trentaine de kilos au moment de s'éteindre.