Pas de soldats français à l'horizon (pourtant Ouakam est pas loin...).
L'assortiment de pralines et cachuètes servi avec les consos au bar : parfait avec le gin tonic.
Aucune chance d'y tomber sur Frédéric Beigbeder - il est moins négresses fermes que blondasses estiennes à la chair molle.
Aucun risque d'y détourner une mineure à cul et seins majeurs (syndrome Lahaye Jean-Luc...étonnamment toujours très connu au Sénégal).
Contrairement au légendaire Ngalam du Point E : le Dj de chez Castel n'intempeste pas au milieu des morceaux.
Castel : idéal après l'Endroit (The place to be) et parfait avant le Ngalam.
No light show chiant pendant les zouks (les peloteurs apprécient de pouvoir travailler sereinement).
Pas d'écrans géants muets avec des zoulous qui s'agitent devant des pétasses irréelles de siliconeries.
Pas de Libanais assis en groupe dans un coin comme s'ils étaient seuls au monde au milieu de nulle part comme ils font partout ailleurs à Dakar dans les boîtes... quand encore ils ne se contentent pas d'aller dans des boîtes à eux.
Quelques blancs quadra pas trop dégénérés qui ne font pas tâche et s'intègrent parfaitement dans le décor simple et efficace.
Très important : d'où qu'on s'asseye : on voit la piste et les danseuses.
GP