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Le Gri-Gri International

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Littérature - Politique - Philosophie - Histoire - Sports - Économie


Pour les "nègres" ethno-tribaux d'Ali Bongo le Mollah'Son : contre M.O.L., après la menace, la calomnie - Acte 4

Publié par www.legrigriinternational.com sur 29 Novembre 2012, 09:45am

Catégories : #Gabon 2011

Michel ONGOUNDOU LOUNDAH & Joseph JOHN-NAMBO, Ministres Défense & Intérieur

Michel Ongoundou Loundah et Joseph-John Ngambo, ministres de la Défense et de l'Intérieur nommés par réel vainqueur des élections gabonaises, inversées par la France, André Mba Obame.

C'est apparu hier (28/11/2012) sur un blog rattaché à Mediapart, appartenant à un attardé répondant au délicat pseudonyme de "Ditengou", sous le titre, encore plus délicat : Gabon : Michel Ongoundou Loundah, indic de Robert Bourgi, poignarde Amo dans le dos.

 Qu'est-ce qui nous permet, en dehors du contenu de l'article, que nous allons décliner et commenter comme il se doit, d'en qualifier, ou plutôt d'en diagnostiquer l'auteur, Sandros Ditengou, "attardé (mental)" ? Premier élément, le même jour, sur son blog, et tous signés par lui, paraissent pas moins de trois autres articles, du même gabarit et du même tonneau. On peut, bien sûr, imaginer qu'en bon journaliste consciencieux notre ami avait préparé ses articles de longue date, sans les achever, attendant que s'ouvre une fenêtre de tir, qu'une de ses victimes ne commette une bévue ou un couac, que sorte de quelque magique chapeau un document ou un témoignage justifiant l'éreintement consécutif.

Mais cela ne résiste pas à l'analyse. Les quatre cibles n'ayant pas au même moment la même valeur symbolique ou politique et les quatre attaques, lancées simultanément, ayant toutes les chances de se parasiter (tous les journalistes le savent : on ne jette pas tous ses oeufs sur le même pas niais). Il y a donc toutes les chances pour que, non seulement, Ditengou agisse sur ordre, et contre rétribution (ce qui finit par constituer un sale air au journaliste), mais qu'en outre, pas très malin, il ait cru satisfaire son ou ses maîtres en déployant tous ses missiles d'un coup.

(Payez-le moins, vous qui l'employez, il est contre-productif et risque, comme ici, et vous avec derrière, un retour de boomerang plus dommageable que ses coups bas d'homme à mauvaise haleine (vous dire si on sait qui sait)).

Mais le sommet sera atteint - et l'adjectif "attardé" définitivement mérité - lorsque vous découvrirez les titres des trois autres contributions :

Gabon: Entre Mba Obame et Zacharie Myboto le divorce ethnique

Gabon: Les « putes » du salafiste Marc Ona Essangui

Gabon: Droit de réponse au nazi-salafiste Marc Ona Essangui

Ainsi donc Marc Ona Essangui, militant écologiste internationalement reconnu et récompensé pour son action exemplaire, ses convictions et son efficacité, devient-il sous la plume de Ditengou, un "nazi salafiste" !!! On aimerait savoir ce que peuvent bien être le "salafisme" et plus encore le "nazisme" dans le cerveau fatigué de ce valet déplumé pour qu'il ait l'impudence de s'imaginer capable de les appeler à la rescousse de ses sales besognes.

Ainsi donc André Mba Obame et Zacharie Myboto sont-ils réduits à leur appartenance ethnique.

Projection de son propre racialisme, d'un essencialisme pour le coup "nazifiant" sur les bords ?

Attardons-nous, c'est le mot, sur l'article consacré à notre fondateur. D'abord le très aimable titre : Michel Ongoundou Loundah, indic de Robert Bourgi, poignarde AMO dans le dos. Balance juste ce qui faut. "Indic" de Robert Bourgi. Tous les journalistes ayant eu à travailler dans l'espace françafricain ont été ou failli être un jour ou l'autre en contact avec cette vieille fripouille. Reprocher à un journaliste, satirique de surcroît, d'être en relation avec un avocat, c'est déjà idiot. Le même reproche adressé à un journaliste-opposant gabonais dont le journal est encore interdit de fait dans son pays (et internationalisé sur le web depuis quatre ans), en l'accusant de recevoir des sms d'un des historiques avocat de la Françafrique, un véritable maître-étalon lorsqu'il s'agit d'évaluer l'art de la pénétration de palais par derrière, le même reproche, disais-je, devient grandiose et discrédite assurément celui qui l'a produit, qui nous apparaît soudain ou niais et innocent comme un enfant, ou, au contraire, vicieux comme une vieille péripapéticienne.

Ah, nous allions oublier : en plus, M.O.L. plante un couteau dans le dos d'A.M.O.. En plein film ! Il était une fois au Gabon, avec James "M.O.L." Coburn en lanceur de couteux ombrageux, le stetson lui tombant sur le nez alors qu'il sieste sous un arbre en attendant que Mba Obame vienne poser son dos à portée de schlasse !

"Nous venons d’apprendre que contrairement à ce que raconte l’as de la mythomanie qu’on appelle Michel Ongoundou Loundah, important « ministre moutouki » de la Défense nationale dans le gouvernement fictif d’AMO, Raphaël Ntoutoume Nkoghe ne l’a jamais menacé de mort.

De proches de la famille de son propre père l’ont formellement démenti et nous mettons ce grossier affabulateur au défi d’apporter la preuve vidéo ou audio de son père confirmant sa ridicule thèse. Par contre, nous savons que le même jour, Michel Ongoundou Loundah a bel et bien reçu un message de mise en garde sur son téléphone portable ( 07 75... )."

Comment notre Albert L'Omble a appris tout ça, qui sont les proches de la famille de son père qui ont démenti ? On le saura sûrement le jour où Ditengou se sera fait greffer un cerveau ! En revanche (et non pas "par contre", qui est incorrect), là où Ditengou donne dans l'inédit, c'est lorsqu'il somme M.O.L. d'apporter une preuve vidéo ou audio. Génial : l'accusateur somme la victime d'apporter les preuves de sa culpabilité (ou de son innocence, pour lui, c'est pareil).

Plus épineux. Comment notre ami peut-il savoir que M.O.L. a reçu un message, sur un téléphone dont il dévoile même le numéro (il n'a pas nos pudeurs déonotologiques) ? À part en étant nourri par des policiers ayant eux-même écouté M.O.L. et qui, contrevenant à toutes les lois, lui aurait transmis d'éventuelles transcriptions d'écoutes...? Ce qui reviendrait à dire que le Gabon est un régime policier qui écoute les opposants, fait fuiter le résultat (ou des faux tenant lieu de), paye des "journalistes" pour menacer de mort, d'autres pour répandre des mensonges déguisés.

Même nous, nous n'oserions pas ainsi le résumer...

"Message envoyé de Paris par son pote Robert Bourgi, qui l’averti qu’en écrivant des mensonges sur la première dame, il était en train de s’offrir des ennuis judiciaires. Un message dont Michel Ongoundou Loundah ne parle curieusement pas. Préférant déverser sa paranoïa sur RNN. Mais l’attitude de ce « ministre moutouki » itinérant se comprend. Il ne veut pas que ses amis soient au courant qu’en fait, il est l’indic de Robert Bourgi dans l’entourage d’AMO et de l’UFC. Un rôle que Michel Ongoundou Loundah a toujours joué depuis longtemps et avant même 2009." 

Pour tout ce qui concerne ses activités politiques depuis son retour au Gabon, nous laisserons à M.O.L. le soin et le choix de sa défense. En revanche, pour les années qui précèdent 2009, il nous est possible d'intervenir, car si M.O.L. "avant même 2009" servait d'indic à Bourgi, le Gri-Gri, dont nous avons la charge depuis 2006 n'aurait pas complètement pu l'ignorer... Nous avons au contraire souvenir d'avoir, et plus souvent, plus jubilatoirement, plus cruellement qu'à son tour, sur le papier comme sur le net, rossé, déshabillé et, souvent, vexé, Robert Bourgi. Ce dont nous nous targuons même souvent dans les cocktails mondains. Avec mieux que l'aval de M.O.L., mieux que sa bénédiction, sa participation parfois !

Ditengou, mon ami, mon con-frère, va falloir que tu t'armes davantage si tu veux jouer à Paul & Mick avec le Gri-Gri. La liste de ceux qui regrettent est longue comme un bras de président africain. Demande à Hugeux, dont nous traînons chaque fois que c'est possible la réputation et la rigueur professionnelle dans la vase depuis laquelle elles méritent d'être considérées. Demande à Koaci (qui déjà reprend, comme con-venu, ton article, signant par là, d'ailleurs, le caractère combinatoire de la manoeuvre). Il est possible de nous faire évincer d'une émission télé (Hugeux fait ça très bien). Possible de nous étrangler financièrement en nous obligeant à imprimer en Europe et donc, à cause des frais de transport, de devoir nous vendre au prix d'un produit de luxe.

En revanche, chéri-chéri, sur le web et sur le terrain de la joute, réfléchis bien avant d'y revenir. Tu y pourrais y laisser plus qu'une carrière balzacienne : tes illusions, ton orgueil et ta fierté.

(Qui sera ton ami quand nous aurons dit sur toi tout ce qui doit être dit ?).

"En tous cas, il sait tout sur AMO depuis qu’il a divorcé de sa femme Sénégalaise pour s’attacher aux porte-jarretelles d’Angèle Ondo qui lui fournit involontairement toutes les informations. Notamment celles sur la santé d’AMO. Pourquoi sur la santé d’AMO ?"

Ditengou, t'es chiant, on a dit qu'on jouait pas avec les cartables et qu'on traitait pas les mères ! Encore un secret de chiottes obtenu grâce à un SMS intercepté par la police émiratienne du Mollah'Son et récupéré grâce à un flair rendu légendaire par les vingt lignes qui précèdent ?

"Comme les autres ambitieux de l’ex-UN, Michel Ongoundou Loundah est de ceux qui prient tous les jours pour qu’AMO reste dans cet état jusqu’en 2016. La commission médicale ne pouvant valider sa candidature s’il reste ainsi, il faudra bien donc qu’AMO s’efface et donne sa caution à un membre de l’ex-UN. Michel Ongoundou Loundah est persuadé que son titre de Mougoye d’AMO, c’est-à-dire de « père » de Franck Nguema, lui sera de poids pour qu’AMO porte son choix sur lui."

Si on reconnaît l'imbécile à ce qu'il vous tient immanquablement et d'emblée pour plus bête que lui, le Ditengu a la particularité, intéressante, de transférer, comme on dit en psychanalyse, sur autrui tout ce qui alourdit, complique et ralentit un cerveau déjà considérablement amoindri par tant d'années passées à fréquenter sa triste personnalité. Voyez l'amphigourisme byzantin des fantasmes prêtés à M.O.L.. On n'est même plus dans le billard à trois bandes avec Ditengu ! Direct l'apocalyptique prophétie inexégétisable !

La suite et la fin sont lumineuses : "Persuadé de la réussite de ce coup de génie, Michel Ongoundou Loundah entretient donc secrètement sa relation avec Bourgi, passerelle obligée de la France au Gabon."

Observation complémentaire, la remarque relative à la passerellité de Bourgi : l'énoncer ici traduirait plutôt son obsolescence... il a bien fait de nous filer le journal papy M.O.L., il voit plus rien ! Ses cheveux gris sur les photos le prouvent : il a vieilli ! Il continue de tenir le pantin Bourgi pour un éminent pion ! Si tel était le cas, Ditengu, tes maîtres-chiens ne perdraient pas les 50 000 CFA qu'ils ont du te filer. Faut-il que tu sois bête pour penser berner les gens avec tes âneries.

"De même il a déjà mis au point son slogan de campagne : « Le candidat de la synthèse ».

Une « synthèse » qui tient sur le fait de sa double identité : le futur président du Gabon est de père Fang et de mère Obamba."

Là, je peux rien faire pour toi, Ditengu : tu mérites une fessée cul nu en place publique, ensuite de quoi tu copieras deux cent fois "Je ne dois pas mêler les questions politiques aux questions politiques."

"2016, c’est demain. Il n’est donc pas trop tôt pour se faire une autopromotion et lancer déjà sa propre campagne par l’auto-victimisation."

Non, Ditengu, 2016, ce n'est pas demain. C'est dans un peu plus de trois ans.

(Question : pourquoi mets-tu un trait d'union (nationale, excuse-moi, pas pu résister) entre auto et victimisation, mais pas entre auto et promotion ? Tu appliques une règle grammaticale rarement usitée ou c'est comme tout le reste, t'inventes à qui mieux-mieux ?)

"Quitte à aller sortir cette vieille photo de 2001 qui avait fait la Une d’« Africa International » pour la plaquer dans « Le Temps ». Oubliant même de citer l’origine."

Qu'est-ce que tu veux, on est joli garçon et vaniteux au Gri-Gri ! Ça doit venir du sentiment du devoir accompli après avoir tancé les carpes, tanches et brêmes de ton acabit.

Signé : le Malcolm X de Michel "Ellijah Muhamad" Ongoundou Loundah

PS : Koaci reprend les étrons éditoriaux de Ditengou. Nous avons donc la preuve que ces accusations, "c'est de la merde". Merci Koaci d'avoir, comme toujours, su jouer ton rôle d'éclaireur malgré toi : là où tu poses tes pieds dégueulasses, la vérité trépasse.

PS 2 : pourquoi tes pieds ? parce que chez Koaci c'est avec eux qu'on écrit, non ?

PS 3 : malin comme tu es, Ditengu Sandros, tu ne mettras pas longtemps à trouver mon identité... mais moi, tant que tu ne montres pas ta jolie figure, je ne te réponds pas sous mon nom.

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