Captures d'écran d'un clip de propagande des mongoliens Natifs.
Ces street-marketeurs sinistres s'en prennent à Aya Nakamura, après que la moitié de Brigitte Macron ait demandé à celle-ci de faire la Piaf pour la cérémonie d'ouverture des J.O.
Dans la foulée de la fausse réac et vraie opportuniste Eugénie Bastié, ils attaquent la chanteuse. La Bastié prétendait chez Praud-gnathe ne pas comprendre le français que chante Aya. Dommage, toute la jeunesse française, elle, comprend : faudrait songer à s'intégrer, Eugénie, à ne plus se suffire d'être la seule jeune nana au milieu des croulants droitiers, ça fausse la vue et biaise les raisonnements.
Alors les larbins "Natifs" (ça sonne comme le ricain "Native", marrant) ont déployé une banderole pour dire son fait à l'artiste :
On notera d'abord le courage de ces défenseurs de la race blanche : planqué(e)s derrière le tissu. On a des couilles, mais on ne les montre pas. Combien de ces puceaux et pucelles naviguent sur les réseaux sous pseudo ?
On s'amusera ensuite de les voir reprendre à leur compte un des gimmicks d'Aya : "y'a pas moyen". On croyait qu'Aya chantait pas en français !
Mais le sommet est atteint dans un de leurs clips de propagande. On les suit dans la rue ("la street", hum, ça fait frétiller !). Vont-ils, Charles Martel du futur, s'attaquer aux Sarrazins ? Mettre à sac des ateliers d'écriture rap en MJC ? Séduire et engrosser les femmes blanches pour nous épargner le grand remplacement ? Acheter des armes aux Ukrainiens pour relancer les Arabicides dénoncés par Fausto Giudice dans les années 80 ?
Mon cul. Comme des street-marketeurs hip-hop des années 90, ils vont coller partout dans la ville de vulgaires autocollants. Certes pas pour vendre un disque. Pour recycler des slogans aussi rincés qu'eux. Et finir par en coller un sur la plaque indiquant la "place Jacqueline de Romilly".
Qui dira à ces petites "Pookie" qui est la Jacqueline de Romilly qu'ils viennent de "toyer".
Grégory Protche