Parmi les journalistes, nombreux sont ceux qui ont entendu parler de cette missive "interceptée" par le camp Gbagbo. En général, pour ne rien vous cacher, on leur en a parlé suite aux excuses plates et répétées auprès de la Présidence de l'ex ambassadeur de France en Côte d'Ivoire, M.Simon. L'argument fort, admettons-le, des contesteurs d'authenticité de la lettre, c'est qu'on n'imagine pas un chef d'État ("français" en plus !) violentant ainsi sa langue maternelle...
(Un coup d'oeil à un de ses exploits syntaxiques en vidéo inverse le doute !)... Surtout personne ne "peut croire" qu'il n'y a pas à l'Élysée quelqu'un(e) chargé(e) de relire, de signer le bon à communiquer... Inutile de nous prétendre les experts que nous ne sommes pas. Nous ne trancherons pas un débat qui nous réjouit d'avance.
Réécoutons Alcide Djédjé, ministre ivoirien des Affaires étrangères, interrogé par Yannick Hurien sur Kernews FM.