Paru in l'Union, à Libreville, édition du 26/11/2012
Et où il est dit, dans la partie qui nous occupe de ce billet "d'humeur"... "Et la Première dame dans tout ça ? Son, tort, c'est de poser des actes positifs pour les populations fragiles. On n'a pas besoin de dessin pour le comprendre. Seulement, les manipulateurs et les pantins n'ont qu'à se tenir tranquilles, le Gabon n'est plus ce qu'il était et les zombies de leur espèce vont disparaître. En tout cas, vos agitations vaines et stériles confirment qu'"on ne jette la pierre qu'à l'arbre qui porte des fruits juteux et sucrés." Allez, à suivre quoi...
...Makaya"
On pourrait tout d'abord objecter au gugusse ampoulé du style et vieillissant du proverbe que son billet, en soi, démontre l'absurdité de sa démarche : comment qualifier de vain et de stérile ce ou ceux qui a produit en réponse le dit billet ? Ou alors, ça revient à admettre que tout "ceci" n'est qu'un théâtre absurde où chacun joue un rôle inutile, celui qui dévoile les dessous de la Première dame, comme celui qui feint de s'en émouvoir. (Et donc, accessoirement, que le signataire, ô combien courageux, Makaya est payé à ne rien faire d'important).
Plus inquiétant, plus révélateur des moeurs, pratiques et méthodes du régime : la menace de mort même pas déguisée... "vont disparaître"...
Photo - dr Texte - J.O.