Les juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont sommé la Côte d’Ivoire de leur remettre la femme de l’ancien président Laurent Gbagbo, poursuivie pour crimes contre l’humanité, arguant que « les autorités nationales de la Côte d’Ivoire ne prenaient pas de mesures tangibles, concrètes et progressives pour déterminer si Simone Gbagbo était pénalement responsable du même comportement que celui allégué dans le cadre de l’affaire portée devant la Cour ». Un mandat d’arrêt de la CPI a été émis en 2012 à l’encontre de Simone Gbagbo pour meurtres, viols et « autres actes inhumains et actes de persécution pendant le conflit inter-ivoirien entre décembre 2010 et la chute de Laurent Gbagbo, en avril 2011.
PS : la titraille est de la rédaction