Une du Journal du dimanche du 31 août 2014.
Cette familiarité cache-t-elle une profonde affection ou ce petit doigt de mépris paternalisant qui caractérise parfois le rapport aux personnes issues de l'immigration réduites à un surnom ("Mamadou") ou à un prénom-pseudo ("Smaïn" ou "Jamel") ?
Le débat est tout vert.
PS : "Examen de rentrée pour Najat" n'arrange ici évidemment rien à la pénible impression.